OEuvres d’art

Conformément à la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec, la Société du Centre des congrès de Québec a alloué 1 % de son budget de construction ou d’agrandissement à la réalisation d’œuvres d’art qui s’harmonisent à l’architecture, aux espaces intérieurs ou extérieurs, à  la vocation des lieux et au type d’usager. Ces œuvres témoignent de la diversité d’expression des artistes québécois et constituent une part importante de notre patrimoine artistique.

Quatuor d'airin à l'entrée du Centre des congrès, par l'artiste Lucienne Cornet.

Quatuor d’airain (Lucienne Payan-Cornet)

Les quatre formes de bronze figurent les positions successives du bond puissant d’un animal impressionnant. Quatre séquences d’un mouvement qui rendent sensible le rapport entre l’espace et le temps dans un grand élan de liberté.

Monument pour A (Rose-Marie Goulet, artiste)

Les inscriptions gravées à même le sol, les éléments sphériques disposés en hauteur et le traitement pictural des grands murs et des plafonds du hall sont des éléments propres aux congrès. Le traitement pictural des grands murs supérieurs et des plafonds du hall d’entrée, dans différentes tonalités de bleu en dégradé, constitue en outre une troisième dimension de la même œuvre.

Groupe de personnes debout dans le grand hall du Centre des congrès de Québec durant un cocktail.
Photo : Les Festifs (À la Table du Cardinal 2022)
Escalier du Centre des congrès avec l'oeuvre "D'un lieu à l'autre" de Chantal Seguin

D’un lieu à l’autre (Chantal Séguin)

L’œuvre habite l’escalier liant le hall principal au corridor public. Une centaine de personnages en acier inoxydable déambulent, tête à l’envers sur le plafond et des échelles suspendues. Avec son concept, l’artiste souhaite soulever un questionnement sur les lieux de passage, de rencontre et de transition en visitant par un regard contemporain l’escalier comme forme sculpturale.

Paraiso (René Derouin, artiste)

La murale de 2,40 sur 31 m  représente la dualité du baroque symbolisée par le métissage des grandes cultures amérindienne et coloniale espagnole du patrimoine mexicain, que l’artiste regarde à travers les yeux de la culture québécoise.

Oeuvre d'art Paraiso, dans la salle 400. On y voit l'immense toile accrochée très haut, les colonnes de la salle et des chaises empilées.